La direction du groupe Liberty Steel a annoncé, lundi, à l’occasion d’un conseil d’entreprise extraordinaire, qu’elle allait devoir se séparer de 153 travailleurs (sur un peu plus de 700) afin de sauver l’outil sidérurgique et d’éviter la faillite.
Ce volume de désengagements n’est cependant pas non définitif, dans la mesure où les négociations requises par la loi sur les licenciements collectifs vont dès à présent commencer avec les syndicats. C’est donc le début de la valse des propositions et des contre-propositions pour limiter les dégâts sur le plan social. En août, il était question d’une menace sur 300 emplois. Aujourd’hui, ce chiffre a été réduit.