Un habitant d'Aywaille s’est en effet vu condamné au civil à payer 223.000 euros d'astreintes. Ce militant de la cause anti-zoo, président de Wolf Eyes, était poursuivi pour avoir notamment prétendu sur sa page Facebook qu'un animal était mort de faim dans le parc de Brugelette. Ce que le parc a catégoriquement démenti, explications à l'appui.
Face à son refus de retirer et stopper ses publications, le tribunal lui impose aujourd’hui de payer une coquette somme d’astreintes judiciaires. Un huissier lui a d'ailleurs rendu visite récemment pour lui remettre l'exécution du jugement du tribunal civil de Liège.
Selon nos confrères de Nord-Eclair qui donnent l'info ce lundi, le courrier indique également que, faute de paiement, l'homme risque de se voir contraint à payer "par toutes les voies de droit", en passant notamment par "la saisie-exécution mobilière de ses biens".