Plus de 50 pays ont averti mardi l’Organisation mondiale de la santé (OMS) qu’ils exigeaient que les membres de l’organisation onusienne auteurs d’abus sexuels soient tenus de rendre des comptes.
Les personnes ayant subi des exploitations, abus ou harcèlements sexuels doivent également bénéficier d’un soutien approprié, ont déclaré les pays lors de la réunion du Conseil exécutif de l’agence des Nations unies pour la santé.
L’OMS a été sommée d’agir après la révélation, en 2020, d’abus sexuels généralisés commis par des travailleurs humanitaires en République démocratique du Congo (RDC).