Quelque 23.000 personnes, selon un porte-parole de la police, ont manifesté ce mercredi leur colère dans les rues du centre d’Athènes une semaine après la catastrophe ferroviaire qui a fait 57 morts et soulevé une vague d’indignation.
La Grèce est quasiment à l’arrêt avec un appel à cesser le travail dans une grande partie des secteurs public et privé. Aucune liaison maritime n’est assurée entre le continent et les îles et les trains resteront en gare pour le huitième jour d’affilée.
Les employés du service public sont également appelés à débrayer durant 24 heures, tout comme les enseignants du primaire, les médecins et les conducteurs de bus et de métro.