Un constat peu reluisant, qui sonne comme un signal d’alarme, pour Alex Teklak, consultant foot à la RTBF : "Parce qu’au-delà des résultats, qui étaient mauvais, on a vu une grande différence en termes de rythme et d’intensité à mettre dans ces matches-là. On a vu un fossé par rapport à des clubs de pays semblables aux nôtres, en termes de démographie, en termes de résultats, en termes de palmarès. Et je pense que là on doit vraiment se poser des questions. Les dirigeants des clubs ont vu que la barre était haute et qu’on devait travailler différemment".
Pour Alex Teklak la situation n’est pas désespérée mais il est temps de se bouger : "Il faut continuer à promouvoir la formation et l’éclosion de jeunes joueurs. Continuer à travailler avec eux dans les académies. Mais on doit surtout être capable d’assurer leur développement. Bruges par exemple sort de très bons joueurs. Mais le problème c’est que très vite, quand ils sont très forts, ils nous quittent trop tôt. C’est évidemment lié à la situation financière des clubs".