La Ligue algérienne de défense des droits de l’Homme (LADDH) a annoncé dimanche avoir été dissoute à son insu par les autorités algériennes lors d’un procès tenu en son absence, des faits "révoltants" et un "acharnement continu".
Dans un communiqué publié en français sur son site, la LADDH estime qu’à l’instar d’autres organisations, elle "paye" son "engagement pour la démocratie, les libertés et les droits humains". "Comme (pour) d’autres organisations, la question de la conformité avec la loi sur les associations a toujours fait objet de blocage et d’instrumentalisation de la part des pouvoirs publics", a-t-elle dit.