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Anya Taylor-Joy chante le classique "Downtown" pour la B.O de "Last Night In Soho"

C’est le 27 octobre que sortira chez nous Last Night In Soho, le nouveau thriller psychologique d’Edgar Wright (Baby Driver, Shaun of the dead, Hot Fuzz, Scott Pillgrim…). A l’affiche : Anya Taylor-Joy qui donne de la voix dans le film et reprend "Downtown" de Petula Clark.

Anya Taylor-Joy
Anya Taylor-Joy © capture youtube

 

Ainsi pour les besoins du film, Anya Taylor-Joy chante une reprise du morceau classique de Petula Clark de 1964, Downtown, rebaptisé Downtown (Downtempo) dans une version dark, angoissante et mélancolique, accompagnée d’un orchestre. Cette version, écourtée dans le film, est aujourd’hui disponible en single.

Ce n’est pas la première fois qu’Anya Taylor-Joy s’essaie à la chanson. Elle avait déjà interprété une chanson (So much world) pour les besoins du film d’animation Playmobil-The Movie en 2018. Mais Downtown est son premier single "sérieux" qui pourrait lui ouvrir des portes sur d’autres propositions car cette cover est une belle réinterprétation et révèle le potentiel de l’actrice en tant que chanteuse.

 

 

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Le pitch et l'importance des B.O pour Edgar Wright

Le film raconte l’histoire d’Eloïse, une aspirante créatrice de mode, qui est mystérieusement capable de voyager dans le temps et de retourner dans les années 1960 où elle rencontre une chanteuse éblouissante, Sandie. Mais le glamour du swinging London n’est qu’une façade et les rêves du passé commencent à se fissurer et à se fragmenter pour laisser apparaître quelque chose de beaucoup plus sombre et inquiétant.

Le film est soutenu par deux interprètes dont les personnages semblent aux antipodes : d’abord la jeune australienne Thomasin McKenzie (vue dans Jojo Rabbitt et Hole le dernier M.Night Shyamalan) en demoiselle studieuse et réservée autant que peu sûre d’elle, et ensuite Anya Taylor-Joy (consacrée l’an dernier avec Le jeu de la Dame/The Queen’s gambit) en créature de la nuit, femme ambitieuse et peu farouche qui passe de la réalité au rêve, avec des scènes impliquant un décor de cabaret avec une scène… et des chansons.​​​​​​​

Impossible d’en dire plus sans dévoiler une partie de l’intrigue. A la sortie de la première mondiale le 7 septembre dernier au Festival de Venise, Edgar Wright a d’ailleurs publié un message sur Instagram, demandant expressément à ceux qui l’ont vu de ne rien révéler de l’intrigue pour ne pas spoiler les futurs spectateurs de son film. Dont acte.

En revanche, on sait depuis longtemps qu’Edgard Wright est un fan de musique (il est l’auteur d’un formidable documentaire sur les Sparks sorti cet été au cinéma en France mais resté inédit chez nous) qui apporte toujours un grand soin à ses bandes originales. Et Last Night In Soho ne fait pas exception.

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