Le président du Parti socialiste avait en effet remis en cause le texte sur lequel les principaux ministres du gouvernement s’étaient accordés lundi dernier, texte qui avait provoqué la colère des syndicats, au point de déposer un préavis de grève dans les hôpitaux.
Le parti socialiste entendait revenir sur les sanctions infligées aux réfractaires à la vaccination, c’est-à-dire le licenciement à partir du 1er avril prochain, l’obligation vaccinale pour les personnels de la santé entrant, elle, en vigueur le 1er janvier.
Rejoint par Ecolo, le PS a donc bataillé toute la journée avec les autres partenaires de la majorité regroupés derrière le Premier ministre.