Après avoir fait voler pour la première fois une fusée imprimée en 3D le mois dernier, la start-up américaine Relativity Space a annoncé mercredi abandonné le modèle utilisé pour ce vol inaugural et se concentrer sur le développement d’une fusée plus grosse.
Fin mars, la fusée Terran 1 avait décollé depuis la Floride et réussi à atteindre l’espace (jusqu’à 134 km d’altitude), mais pas à atteindre l’orbite visée. Malgré tout, cette mission test a permis de prouver que les fusées imprimées en 3D "sont structurellement viables, capables de résister à une tension maximale durant le vol", a souligné la compagnie californienne.