Apte à comprendre un ordre, à l’exécuter avec bon sens et faire preuve d’initiative avec intelligence dans des circonstances normales. On se glisse dans la peau d’un gendarme et d’un policier pour savoir ce qui les motivait à faire le choix de ce métier alors qu’à l’époque cela dépendait de l’armée.
Dans cette archive de la Sonuma et plus précisément en 1983, Jean Claude Defossez dresse avec une pointe de moquerie le portrait du métier de gendarme à cette époque.
Aujourd’hui, c’est un métier qui a considérablement évolué au fil du temps et pas seulement parce que les uniformes ont changé. Le corps de gendarmerie qui comprend 16.000 hommes dispose d’un matériel considérable et adapté à l’époque. Le gendarme ou sous-officier est subit à un écolage de minimum un an. Un enseignement et des techniques qui n’exclut pas leur raisonnement.
À l’occasion des 40 ans de la mort de Louis de Funès le vendredi 27 janvier, La Une vous propose une soirée spéciale consacrée à l’acteur. Au programme, un de ses classiques avec "L’aile ou la cuisse" ainsi qu’un documentaire.
Regardez plutôt !