Évidemment, les utilisateurs de Twitter ont sauté sur l’occasion pour attaquer l’influenceuse. Et quelques heures plus tard, la boutique était inaccessible (c’est toujours le cas à l’heure actuelle). Mais selon Cozack, Inc., l’entreprise en charge de cette boutique, il s’agit tout simplement d’une erreur.
"Il y a eu des affirmations fausses et inexactes selon lesquelles Emma Chamberlain offrait des DM en échange de 10 000 dollars. En 2018, Cozack (la société de produits dérivés d'Emma) a testé un programme de récompense potentiel lié aux produits dérivés d'Emma à son insu. Lors des tests, ils ont créé un niveau de récompense scandaleux, jamais activé, qui n'était pas destiné à être actif ou acheté. Ces idées de récompenses n'ont jamais été exploitées par Emma puisqu'elles n'étaient pas destinées à être vendues ou récompensées, mais simplement à des fins de tests internes", peut-on lire sur le site.
"Ce que nous soupçonnons, c'est que les données ont été activées et explorées par le système d'indexation SEO de Google et découvertes par une personne qui a ensuite commencé à diffuser de fausses informations à des organes de presse. Ces données n'ont jamais été rendues publiques et il n'a certainement jamais été prévu de les vendre ou de les acheter."
Alors, simple erreur ou rétropédalage de la part de la créatrice de contenu et ses équipes ?