Une mobilisation de grande ampleur était organisée ce samedi 24 septembre sur le site du procès des attentats du 22 mars 2016. Plus de 500 pompiers, policiers, médecins, militaires, agents de la protection civile et magistrats ont testé leur préparation à réagir aux situations d’urgence qui pourraient survenir lors du procès.
Mettre à l’épreuve la coordination de l’ensemble de services de sécurité
Ce genre d’exercice permet d’évaluer la faisabilité des procédures et la coordination opérationnelle des services qui seraient sollicités en cas d’événement grave. Dans ce cas, un incident criminel évoluant au cours de la journée. L’an dernier, un test similaire, destiné à vérifier la coordination des services de secours, avait été organisé dans le tunnel de la Porte de Hal.
"Nous allons adopter de meilleurs réflexes, vitaux en crise"
Pour Sophie Lavaux, la directrice générale de safe.brussels : "C’est en testant ensemble nos procédures que nous allons adopter de meilleurs réflexes, vitaux en crise. Et ces attentats perpétrés ces dernières années dans plusieurs pays nous ont appris une chose : notre sécurité est vitale pour notre liberté".