Aya Nakamura pose en une de Vogue France, en référence à une icône des années 80

Épaule dénudée, grand chapeau, yeux perçants, Aya Nakamura est habillée en Balenciaga par l'étoile montante de la mode, Olivier Rousteing, directeur artistique de Balmain. Cette couverture immortalisée par Carlijn Jacobs fait bien entendu référence à une icône de la mode et de la musique des années 80 souvent vêtue et maquillée de cette façon, Grace Jones.

"Je veux changer l’image de la femme française pour que tout le monde se reconnaisse. Aya Nakamura est une personnalité qui parle à tout le monde. Ici, on l’a métamorphosée : elle est chic tout en restant elle-même, une figure accessible qui incarne la femme française" avance ainsi Eugénie Trochu, responsable stratégie et vision éditoriale pour Vogue, au quotidien Les Échos.

Et Vogue ne manque pas de superlatifs pour décrire le statut de la femme que représente Aya Nakamura en la qualifiant de Divine Diva. Connaissant le succès bien au-delà de l'Hexagone et son album Nakamura ayant atteint le milliard de streams sur Spotify, la chanteuse s'impose en effet mondialement au point de devenir la Beyoncé francophone.