Certaines marques ont bien réduit leur taux de sucre ces dernières années.
En Europe, les boissons rafraîchissantes contiendront en moyenne 10% de sucre en moins d’ici 2025. Les producteurs belges vont bientôt dépasser les objectifs européens.
"Les producteurs de boissons gazeuses ont réalisé une réduction de 20 % en sucre entre 2012 et 2020" , fait remarquer la Fédération Royale de l’Industrie des eaux et des Boissons rafraîchissantes dans un communiqué. "En Europe, les boissons rafraîchissantes contiendront en moyenne 10% de sucre en moins d’ici 2025. Les producteurs belges vont bientôt dépasser les objectifs européens."
"C’est vrai que certaines marques ont fait des efforts pour réduire le taux de sucre de leurs boissons. Par exemple, dans les thés glacés. Mais les industriels ont rajouté des édulcorants.", ajoute la postdoctorante.
Aspartame, stévia, allègent effectivement les boissons. Mais faut-il les recommander ?
Avec le light, l’enfant va garder cette préférence pour le goût sucré. Il mangera plus de gâteaux, boira plus de jus de fruits, on rentre dans un cercle vicieux.
Pour les adultes, grands consommateurs, qui ne parviennent pas à réduire leur consommation de sucre, le light pourra peut-être les aider à perdre du poids en réduisant la quantité de sucre. "Pour les enfants, par contre, ce n’est pas une bonne idée. Avec le light, l’enfant va garder cette préférence pour le goût sucré. Il mangera plus de gâteaux, boira plus de jus de fruits, on rentre dans un cercle vicieux. La boisson principale doit être l’eau" rappelle la chercheuse Angeline Chatelan.