Les barrages routiers dressés au Brésil par des manifestants refusant d’accepter la défaite électorale du président d’extrême droite Jair Bolsonaro avaient pratiquement disparu vendredi et seules quelques dizaines d’irréductibles continuaient de protester devant des casernes.
Le dernier décompte de la Police fédérale des routes (PRF) faisait état de seulement 11 barrages dans cinq des 27 Etats du pays, et aucun d’entre eux n’empêchait totalement la circulation de véhicules.