Liz Truss s'est, elle, dite "impatiente de discuter" de cet accord dit "du Vendredi saint" et "de la manière dont nous pouvons garantir qu'il soit respecté à l'avenir", lors de cette réunion en marge de l'Assemblée générale des Nations unies.
La Première ministre avait introduit, quand elle était encore cheffe de la diplomatie, une loi modifiant des dispositions relatives à l'Irlande du Nord suite au Brexit, ce qui risquerait selon Washington de fragiliser la paix dans l'île.