Il y a 8000 ans de cela, dans le désert libyque, à l’ouest de l’Egypte, des êtres humains peignaient leurs mains sur les parois de la grotte de Wadi Sora II. Des empreintes de toutes les tailles, y compris de toutes petites menottes que les archéologues ont identifiées comme étant des mains de bébés préhistoriques. Une thèse qui n’a pas convaincu l’archéologue et anthropologue belge Emmanuelle Honoré. Selon la chercheuse de l’ULB, ces petites mains ne sont pas vraiment humaines.
L’histoire de l’humanité bouleversée par quelques pièces de bois préhistoriques ?
Patrimoine
C’est une trouvaille à laquelle les archéologues ne s’attendaient pas. En Zambie, quelques rondins de bois vieux de...