Classes bondées, réforme de l’enseignement qualifiant, plans de pilotage, avant-décret d’un nouveau système d’évaluation. Voici les quatre raisons de la colère des enseignants. Quatre axes du Pacte pour un enseignement d’excellence. Et cette colère, à l’appel de tous les syndicats du monde de l’enseignement, ils sont venus l’exprimer à Charleroi. Pourquoi Charleroi ? Parce que c’est là que Paul Magnette est bourgmestre. Mais c’est en sa qualité de président du parti socialiste qu’une délégation syndicale l’a rencontré. Car le PS est aussi le parti de Caroline Désir, la ministre en charge de l’enseignement à la Fédération Wallonie-Bruxelles. Parmi les calicots affichés par les manifestants, plusieurs s’adressaient d’ailleurs directement à elle : "Désir, tu nous agaces. Viens voir dans nos classes !" ou encore "Désir : démission. Tu n’es plus désirée".
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