Depuis l’annonce de sa sortie, il y a quelques semaines, le robot conversationnel de la société OpenAI appelé ChatGPT fait beaucoup parler de lui. Le succès semble au rendez-vous au point d’intéresser des entreprises comme Microsoft qui serait prêt à investir dans la société derrière ChatGPT.
Le magazine d’information américain Time a sorti ce 18 janvier une enquête exclusive qui révèle que des travailleurs kényans externalisés ont gagné moins de deux dollars de l’heure pour rendre ChatGPT plus sûr en évitant qu’il ne soit influencé par des propos violents, sexistes et racistes trouvés sur internet. L’enquête montre aussi le rôle important de ces travailleurs de l’ombre pour rendre le robot d’OpenAI plus sûr pour les utilisateurs.