Une chercheuse américaine a découvert que, combinée à des températures élevées, la pollution lumineuse modifie la période de floraison des arbres dans les villes.
Ses travaux ont été récompensés pour l'éclairage nouveau qu'ils apportent sur la façon dont la lumière artificielle influe sur les écosystèmes urbains.
Dans les grandes villes, le printemps survient plus tôt que dans les zones rurales. La raison ? Les températures y sont plus élevées à cause de la pollution, mais aussi de la lumière artificielle. Cette découverte a été faite par la chercheuse américaine Lin Meng, lauréate du prix Science & SciLifeLab 2021 pour les jeunes scientifiques.