"Soyons clairs, aucun autre pays n’a évoqué la possibilité de l’usage d’armes nucléaires dans ce conflit, aucun pays ne menace la souveraineté russe", a souligné l’ambassadeur britannique adjoint James Kariuki. L’annonce russe "est une nouvelle tentative d’intimider et de contraindre. Ça n’a pas marché jusqu’ici et ça ne marchera pas. Nous continuerons à soutenir les efforts de l’Ukraine pour se défendre", a-t-il ajouté.
On ne guérit pas le mal par le mal
Si France, États-Unis, Royaume-Uni et d’autres membres du Conseil ont clairement condamné l’annonce de Moscou, certains ont renvoyé Russes et Occidentaux dos-à-dos, s’inquiétant d’une prolifération nucléaire. "On ne guérit pas le mal par le mal", a lancé l’ambassadeur brésilien Ronaldo Costa Filho.