Pour alléger la pression sur les établissements pénitentiaires durant la crise sanitaire du coronavirus, 135 détenus ont bénéficié d’une libération plus précoce durant la seconde vague de l’épidémie en Belgique, rapporte De Tijd mardi.
Durant la première vague, 221 détenus avaient déjà bénéficié d’une libération anticipée. Dix d’entre eux ont toutefois depuis lors commis de nouvelles infractions.
Ces libérations anticipées concernent des individus qui ne devaient plus purger que six mois de leur peine de prison.
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Avec seulement dix cas de récidive, le ministre de la Justice Vincent Van Quickenborne (Open Vld) n’a pas jugé nécessaire de resserrer les conditions pour ce type de libération anticipée.