Le PASOK, le parti socialiste grec souhaite que la vice-présidente du Parlement européen Eva Kaili interpellée vendredi dans le cadre d’une affaire de corruption impliquant le Qatar, cède son siège au sein de cette institution.
"Il existe des pressions au sein du parti pour que Mme Kaili cède son siège au Parlement européen", précise un membre du parti socialiste grec. "Pour le moment, elle ne souhaite pas céder son siège car elle sait que cela induirait une levée de son immunité parlementaire", poursuit un autre élu grec.
Le parti socialiste grec (Pasok-Kinal) avait déjà annoncé vendredi à Athènes que Mme Kaili était "écartée" du parti.