La nouvelle était attendue, mais s’accompagne d’une déception pour le secteur. “Je suis heureux, mais également déçu”, nous avoue Léonard Monami, président de la Fédération nationale des commerçants ambulants. “ Limiter l’ouverture aux marchés de 50 échoppes maximum signifie que les grands marchés ne pourront pas rouvrir. Les marchands ambulants vont donc perdre une partie de leurs marchés et donc des rentrées financières. "
Beaucoup ne survivront pas !
En effet, des marchés comme celui d’Anvers, de la Batte à Liège ou du Midi ne pourront pas reprendre. Léonard Monami envisage cependant une solution.
“ On pourrait diviser les plus grands marchés en plusieurs parties. Par exemple, le marché de Huy à 60 commerçants. On peut imaginer organiser deux marchés de 30 commerçants sur deux places distinctes.”