Des bus, des trams ou des métros avec des gens serrés les uns contre les autres à certaines heures : une situation qui inquiète beaucoup de gens depuis plusieurs mois et le début de cette épidémie de coronavirus.
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Le port de l’inconditionnel masque est obligatoire, et d’autres gestes comme la désinfection régulière des mains sont vivement recommandées. La proximité inquiète et se retrouve souvent interprétée comme une promiscuité par les usagers. Pourtant les chiffres des contaminations par lieu sont très faibles en ce qui concerne les transports en commun.
Une enquête de l’Union internationale des Transports publics (UITP) a été réalisée sur base de modélisations venant de l’université du Colorado. Celle-ci affirme que dans un bus ou un métro aéré correctement, le pourcentage de circulation du virus serait toujours de 0% après 70 minutes de trajet où les passagers seraient masqués et ne parlent et ne se déplacent qu’au minimum.
Même des avis scientifiques dans notre pays confirment cette tendance au faible risque dans les transports, aucune source ne permet pour l’instant de vérifier avec exactitude le taux de contaminations dans ces transports publics. Du côté des chiffres donnés par les régions dont l’AVIQ, les précisions et les données manquent.