Les livres d’histoire retiendront que la Belgique (et sa Génération dorée), médaillée de bronze en titre, a été éliminée sans gloire en phase de poules de la Coupe du Monde 2022. Mais dans la foulée, d’autres évènements ont fait mal : démission-départ du sélectionneur Roberto Martinez, retraite du Capitaine-star Eden Hazard, puis de Toby Alderweireld. On enchaîne avec la désignation peu ambitieuse de Domenico Tedesco, un très jeune entraîneur, sans expérience de sélectionneur et qui a connu autant d’échecs que de succès jusque-là. Enfin, sa première sélection laisse sceptique en laissant en rade des valeurs qu’on pensait sûres (Axel Witsel, Michy Batshuayi, Hans Vanaken,…) mais en y intégrant des garçons en difficulté en club (Charles De Ketelaere, Thomas Meunier, Denis Praet).
Bref, depuis près de 4 mois, c’est le pessimisme qui règne en maître. On sait qu’on a mangé notre pain blanc (entre 2014 et 2018) et on se demande combien de temps il faudra se contenter du noir.