Alors certes, Tallin ne fut pas parfait. Alors bien sûr, la défense a reculé et chancelé, rendant notre grand Thibaut bougon – car deux bêtes biscottes dans la musette ne font jamais plaisir.
Alors certes, notre cher coach Roberto a toujours besoin d’un de ses cadors pour assurer dans chaque secteur : Courtois pour les filets garnis, Alderweireld (bien qu’en mode recul-frein koweitien…) pour le trois arrière, Witsel pour le balayage-quadrillage, Eden pour la distribution et Romelu pour les petites prunes en fond de cageot adverse.
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Alors bien sûr, c’est l’éternelle rengaine : tous ces matches éliminatoires et ces adversaires en carton aggloméré sont trop tendres pour boxer sérieusement nos Diables. Lesquels, une fois arrivés en phase finale contre des mecs vraiment sérieux, affichent leurs manquements tactiques et de grinta.