Ses premières impressions de la Chine ont été celles d’énormes inégalités sociales. En effet, il a été accueilli par une famille très aisée, avec du personnel de maison et un ascenseur, mais aussi avec un fils de 16 ans ayant déjà sa propre Mercedes et son chauffeur. Il a également découvert le côté plus modeste de la ville, avec des travailleurs migrants venant d’autres provinces et de nombreux commerces dans des ruelles poussiéreuses. Il apprécie ce côté "village" de Pékin.
Pour Florent, les différences entre la Belgique et la Chine sont nombreuses. Tout d’abord, il y a le climat très sec de la Chine, souvent très lumineux sans aucun nuage. L’urbanisme est également différent, avec une ville organisée de manière "carrée". Le régime politique est également une différence majeure, avec une autocratie et une censure des sites internet qui ne sont pas approuvés par l’administration centrale du Cyberspace. Enfin, les valeurs du confucianisme de la famille et le modèle socialiste de certaines entreprises d’État sont également prégnantes dans la vie quotidienne des Chinois.
Le parcours de Florent est inspirant, il montre qu’il est possible de s’adapter à une culture différente et de s’épanouir dans un pays étranger.