Hier soir. L’info tombe. Thierry Henry est de retour chez les Diables. Waouw…pour une surprise !
Là franchement, à 10 jours de notre entrée dans le tournoi, peu de gens l’avaient vu venir. A vrai dire…personne en fait.
Arrivé en 2016, le Français n’a laissé au groupe que des souvenirs fabuleux. Car l’idole de beaucoup de Diables s’est fondu dans la masse, comme un vrai "Belge". Sans jamais se la "péter", avec une volonté de partager. Son vécu, son expérience, ses petits trucs d’attaquant. Henry a tout partagé.
Un vrai Belge...
A cœur ouvert. Sauf avec les médias. A part une interview exclusive donnée à Rodrigo Beenkens et à la RTBF en début de règne, le plus célèbre des "Gunners" a ensuite tout refusé, arguant du fait qu’il n’était que le T3 de Roberto Martinez. Et qu’un T3 doit laisser la parole au T1. Même sur le balcon de l’hôtel de ville noir-jaune-rouge, je lui ai demandé de briser la glace avec nous, avec le public en contre-bas. Il m’a souri, comme pour me dire,… non…Vincent…bien essayé. Il s’est alors avancé et a profité du bain de foule sans un mot.