Une femme sur 3 a déjà été victime de violences sexuelles ou physiques au cours de sa vie. Certaines études parlent même de 70% . En 2017, c’est 87.000 femmes qui ont été assassinées dans le monde parce qu’elles étaient des femmes, plus de la moitié par leur ex-compagnon ou un membre de leur famille.
Il est temps de prendre les choses en main et de changer les mentalités. Dès le plus jeune âge. Eduquer les filles à leur liberté et les garçons à respecter celle-ci dès la cour de récréation. Thomas Nagant , chargé de campagne pour le CNCD 11 11 11 était l’invité de Namur Matin. Pour lui, il y a une prise de conscience mais les chiffres restent épouvantables. Il s’agit d’un forme spécifique de violences, les féminicides. Un terme qu’il souhaite voir inscrit dans le code pénal. Police, Justice et services de préventions doivent se repenser, travailler ensemble, et faire évoluer le cadre légal.