L’un signe "The Bad Guys" chez Dreamworks, l’autre a quitté Pixar pour gagner en liberté et sort "Icare", un film indépendant": deux réalisateurs prouvent sur les écrans qu’en matière d’animation, la "French touch" n’a pas dit son dernier mot.
Courses-poursuites en "muscle car" dans les rues de Los Angeles, clins d’œil à "Pulp Fiction" ou "Ocean Eleven"… "The Bad Guys" est un pur produit hollywoodien, mais également le tout premier long-métrage du studio américain de "Shrek" ou "Kung Fu Panda" entièrement réalisé par un Français.
A l’écran, une bande d’animaux à la réputation de "méchants" (un loup, un serpent, un requin, une tarentule et un piranha), soudés dans le crime et recherchés par tous les policiers de la ville. Arrêtés après avoir tenté le coup de trop, la bande passe un marché avec les autorités : devenir "gentils" pour éviter la prison. Ou au moins faire semblant.