Le négativisme vend plus que les bonnes nouvelles
Chronique Économique
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Et si l’année 2022 n’était qu’un immense grand bond en arrière dans le passé ?
Et si nous terminions l’année en beauté en faisant un grand bond dans le passé, C’est ce que proposent mes confrères du quotidien économique Les Echos. Et je trouve leur idée épatante. Ausculter de près l’actualité de l’année 2022. Et vous constaterez quoi ? Que nous tous, nous avons fait un retour dans le passé et sans le savoir.
Alors prenez le sujet qui nous a occupés presque à plein temps cette année : l’énergie. Qui aurait imaginé qu’en 2022, nous nous poserions des questions aussi plates pour savoir si nous pourrions passer cet hiver sans grelotter de froid et sans panne d’électricité ? Alors les plus anciens qui ont vécu la sortie de la deuxième guerre mondiale ou les privations des années 70, durant la guerre israélo arabe, ont dû avoir un gros sentiment de déjà-vu. Autre exemple, celui de la voiture. Elle a été pendant des années symbole de liberté, d’émancipation. Les films, les spots télés à sa gloire se comptent en millions. Et là, patatras, en 2022, c’est le grand virage. Alors non seulement la voiture est dénigrée, non seulement elle est montrée du doigt pour sa pollution, mais en plus elle se fait désirer. L’effet cumulé du COVID et de la guerre en Ukraine fait que les délais de livraison des voitures se sont allongés entre six mois et parfois une année. Alors si ça, ce n’est pas un parfum d’il y a 50 ans, qu’est-ce que c’est alors ?
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