Miami, Arabie saoudite ou encore Qatar. La Formule 1 ne cesse de s’exporter et de croître. Conséquence ? Une saison à 23 Grands Prix, du jamais vu dans l’Histoire du sport.
Entré dans sa dernière année de contrat, le Grand Prix de Belgique, comme d’autres rendez-vous européens, pourrait se voir menacé par l’arrivée de nouvelles puissances dans le grand cirque de la F1. "Les Grand Prix européens sont surnuméraires. Ce sont ces circuits légendaires qui ont fait croître le sport, mais forcément il va y avoir embouteillage au niveau des dates", nous explique Laurent Rossi, CEO d’Alpine.
Pour le patron de l’écurie française, il existe des alternatives. "Il y a des solutions proposées. Notamment de faire des rotations de Grand Prix, quitte à ne les avoir qu’un an sur deux. Cela peut d’ailleurs donner beaucoup d’intérêt à plusieurs courses".
Avant de poursuivre. "Il va falloir être créatif car il n’y a pas assez de dates sur toute une année. Ce qui est bien, c’est que tous ces nouveaux Grands Prix se chargent d’élever le niveau et en général, les autres suivent".