Face aux nouvelles courses en Arabie saoudite, à Miami ou prochainement à Las Vegas, certains Grands Prix emblématiques, menacés de disparition, comme celui de Belgique dimanche, doivent se renouveler selon le PDG de la F1, Stefano Domenicali, pour qui "l’histoire ne suffit pas".
Mais le big boss de la Formule 1 n’a pas voulu se mouiller pour le GP de Belgique : "Jamais vous ne verrez de commentaire de ma part disant que c’est la dernière année pour la Belgique. Je serai prudent là-dessus, très prudent. Il est vrai que nous travaillons avec d’autres promoteurs pour voir s’ils sont prêts à s’engager. Nous voulons trouver le bon équilibre, au moins un tiers en Europe, un tiers en Extrême-Orient, et l’autre en Amérique/Moyen-Orient. Bien sûr, nous parlons d’un secteur où les investissements et la contribution financière sont très importants, mais nous avons toujours dit que les courses traditionnelles, dont nous savons qu’elles ne peuvent pas apporter l’argent que les autres apportent, ont tout notre respect. Elles seront respectées à l’avenir. Les discussions avec la Belgique sont toujours en cours".