La végétation superficielle touchée
Des responsables du département Nature et Forêt prennent part aux décisions stratégiques. L'objectif est de limiter autant que possible les conséquences sur la nature. "Au niveau de la nature, contrairement à l'incendie de 2011 où là, on devait intervenir pour éviter que le feu n'aille vers une tourbière haute active et où le sol était sec, ici, le sous-sol est humide, les habitats les plus précieux dans cette zone-là sont trempés, c'est donc vraiment la végétation superficielle qui brûle" précise René Dahmen, chef de Cantonnement d'Elsenborn, département Nature et Forêt.
Un incendie probablement d'origine humaine
Selon les Eaux et forêts, l’origine des flammes est humaine car aucun phénomène naturel comme des orages et des éclairs n’explique le départ de flammes dans cette zone difficile d’accès.
Incendie volontaire ou dû à une négligence, c'est ce que l'enquête devra déterminer.