La composition : Courtois – Vermaelen, Boyata, Denayer – Chadli, Witsel, De Bruyne (Vanaken 91'), Trossard (Meunier 75') – Doku (Batshuayi 75'), E. Hazard, Lukaku (Benteke 84')
Une première mi-temps noir-jaune-rouge
Roberto Martinez réalise huit changements dans le onze de base pour la Finlande en comparaison avec la rencontre contre le Danemark, les petits nouveaux se nomment notamment De Bruyne, Hazard et Witsel.
Les Diables ne forcent pas leur talent en ce début de match, concentrés ils prennent possession du ballon et de la surface adverse, mais sans amener de véritable danger pendant le premier quart d’heure.
La toute première grosse occasion du match vient de l’incontournable Romelu Lukaku à la 16e minute, sa frappe frôle le poteau mais une position de hors-jeu était de toute façon signalée.
Cinq grosses minutes plus tard, Kevin De Bruyne régale avec un superbe slalom dans le rectangle adverse mais il est complètement seul et les Finlandais s’en sortent tant bien que mal pour dégager.
Les Diables ont le pied sur le ballon, squattent la partie de terrain adverse et se montrent les plus dangereux. Mais malgré tout pour le moment le score est toujours vierge.
Après la demi-heure de jeu, la Belgique semble passer la vitesse supérieure, Witsel a une occasion de tir mais sa frappe passe bien au-dessus des cages de Hradecky.
Jérémy Doku a une belle occasion d’enfin ouvrir le score à la 42e minute d’une bonne frappe enroulée mais Hradecky sort une jolie claquette de la main gauche.
Le retour au vestiaire se fera sans le moindre changement au marquoir, avec une petite appréhension vu le coup subi par Eden Hazard avant la pause et la grimace qui a suivi sur son visage…
Deuxième mi-temps plus réaliste
Une bonne nouvelle quand les joueurs remontent au jeu, Eden Hazard est bien présent. Ouf de soulagement pour le joueur, les Diables et le Real Madrid…
Les Diables recommencent cette deuxième période avec de très bonnes intentions mais ils manquent toujours cruellement de réalisme.
Courtois doit intercepter une frappe finlandaise peu après l’heure de jeu, la Belgique joue un peu avec son bonheur.
L’une des plus grosses opportunités vient des pieds d’Eden Hazard dans la foulée mais la main gauche de Hradecky est tout bonnement incroyable ce lundi soir. Le gardien finlandais maintient les siens dans cette partie.
On croit à la " délivrance " à la 65e minute mais le but de Lukaku est invalidé par le VAR pour quelques centimètres voire millimètres.
Mais la Belgique fait enfin sauter le verrou, bien aidée par le malheureux Hradecky qui dévie une frappe de Thomas Vermaelen à la 74e.
Les Diables sont lancés et Romelu Lukaku double la mise à la 81e minute.
Le score n’évoluera plus. Les Diables n’ont pas forcé leur talent mais ils ont pu se montrer patients face au bloc finlandais et assurer l’essentiel, trois nouvelles unités en poche et un sans-faute dans cette phase de groupe.