Pour notre rencard musical du soir, je vous emmène dans les rues étudiantes de Louvain-la-Neuve.
C’est là qu’un beau soir, ou peut-être une nuit, les regards de Florient, batteur, et d’Amaury, chanteur, se sont recroisés par hasard, des années après s’être rencontrés dans une école de musique à Namur.
Ces deux épris de rock et de chanson française ont fait de ce hasard un rendez-vous. À la façon d’une fusion entre Kings of Leon et Stephan Eicher, ils ont jeté les bases d’une nouvelle formation, répétant dans un sous-sol louvaniste entre les cours de droits et ceux d’ingé son.
Quatre ans plus tard, ce qui était un duo est devenu un quintet, uni sous le nom de NAEVI et complété dans l’intervalle par William, bassiste rythmé par le metal, Pablo, toucheur de cordes sensibles, et Bastien, aussi chercheur que séducteur à travers ses mélodies.
Objectif commun de ces cinq musiciens ?
" Notre objectif est de vivre de notre musique et de la partager un maximum avec le public. De les immerger dans notre univers et dans tout ce qu’on peut produire. Quand on joue en live, on souhaite que les gens se plongent dans les émotions qu’on diffuse, dans l’énergie que nous avons… Que ce soit une expérience entière. Nous sommes d’ailleurs à la recherche d’une maison de disques… "