Le chancelier allemand Olaf Scholz, chahuté pour ses atermoiements et son manque de leadership présumés, a défendu dimanche à la télévision sa politique depuis le déclenchement de l'invasion russe de l'Ukraine.
"Nous ne faisons tout simplement pas tout ce que l'un ou l'autre nous demande", a-t-il martelé dans une rare allocution télévisée à l'occasion des commémorations de la fin de la Seconde Guerre mondiale. "Car j'ai juré dans mon serment de prise de fonction d'éviter tout dommage au peuple allemand".