Plusieurs causes du taux de mortalité de cette espèce s’expliquent. Avec 41% les humains sont la première cause. Les personnes veulent manger du poisson, ils aiment cela. Les pêcheurs en péchant capturent accidentellement les marsouins.
La seconde causes ce sont les maladies infectieuses. Énormément de déchets sont jetées à la mer. Notamment des plastiques qui vont se retrouver dans l’estomac du mammifère, qui va en mourir. La mer devient dramatique à cause des plastiques.
La troisième cause est l’émaciation. C’est-à-dire le fait de perdre du poids très vite. Les marsouins ont de moins en moins de nourriture à cause des pêches intempestives en mer. Ils sont trop minces, ils meurent littéralement de faim. Ils n’ont plus rien à manger.
La quatrième cause ce sont les attaques de phoques gris. Ces phoques adorent leur chair.
L’aquarium a plusieurs fonctions, plusieurs casquettes.
Il a souffert de la fermeture suite aux mesures sanitaires mais à présent les heures d’ouvertures reprennent normalement. Tous les mercredis après-midis, pour le grand plaisir des enfants, les familles et les écoles sont accueillies par un guide pour une visite de trente minutes avec des animations.
Le musée possède aussi des salles de cours pour un master en cénéologie pour notamment étudier les maladies des poissons. Il y a quelques années il y avait des dizaines d’étudiants, maintenant il y en a cinq fois plus, ils viennent parfois de très loin.
Un programme d’échange avec quelques aquariums européens existe. C’est un plus pour le musée, ce programme consiste à promouvoir la reproduction des espèces pour aboutir à des espèces rares et uniques.
Ce qui est sûr, c’est que l’aquarium du muséum de l’université de Liège reste et restera un lieu de magie avec des poissons qui viennent du monde entier. Un lieu que les futures générations continueront à fréquenter pour voyager dans ce monde sous-marin merveilleux.