L’armée de cameramen présents aux JO de Tokyo 2020 pour filmer les compétitions a certainement connu des disciplines plus compliquées à filmer que le trampoline. Introduit depuis les JO de Sydney en 2000, le trampoline anime les Jeux Olympiques pour la 6e édition consécutive. Des épreuves – le concours féminin et le concours masculin – qui s’étalent sur deux jours et dont cameramen des Jeux n’ont raté aucun rebond.
Il faut dire que les mouvements de caméras sont assez basiques et répétitifs. Une oscillation verticale rythmée et presque blasée captée par les rares personnes autorisées à assister aux compétitions.