Il s’agit de l’un des avocats les plus jeunes et les plus médiatisés, en France comme en Belgique. Ancien conseiller juridique de Julian Assange, le fondateur de Wikileaks, mais aussi collaborateur du procureur de la Cour pénale internationale et proche des gilets jaunes, l’homme a été placé en garde à vue ce 1er juin et remis en liberté en fin d’après-midi pour une accusation de viol. Les investigations, toutefois, se poursuivent.
L’info, relatée par Libération et Le Parisien, a été confirmée par Juan Branco lui-même sur Twitter, définissant cette garde à vue comme étant une "ignoble instrumentalisation". Avant qu’il ne soit relâché, son avocat, Me. Yassine Bouzrou avait demandé par voie de communiqué que l’affaire soit classée sans suite car aucun élément ne permettait de démontrer le caractère non consensuel de la relation sexuelle visée.