Déjà très affaibli par la chute des prix de gros l’année dernière, le secteur du chicon belge joue plus que jamais son avenir.
En Wallonie, ils ne sont déjà plus qu’une poignée à en produire.
Basé à Estaimpuis dans le Hainaut, le principal producteur va écourter sa saison de deux mois pour éviter les surcoûts engendrés par la hausse des prix de l’électricité. "Habituellement, on travaille jusqu'à fin mars, début avril, mais cette année, vu les prix de l’électricité, on va arrêter la saison fin janvier", explique Justin Cossement, cogérant de l’exploitation avec son papa.