En 1876, lorsque Robert Koch a prouvé que les micro-organismes pouvaient transmettre la maladie d’un être malade à un être sain, il n’a jamais réalisé à quel point cela allait déclencher une nouvelle tendance à la ''germophobie'' (mysophobie en bon français) aux États-Unis.
Pendant la guerre civile, les scientifiques ont considéré que l’environnement était la cause de nombreuses maladies. On s’est donc efforcé de rendre les environnements plus sûrs et plus hygiéniques. Dans les années 1900, ce sont les humains eux-mêmes qui ont été examinés comme étant la source de la propagation des germes. Il s’agit incontestablement d’un facteur important. Mais certaines personnes l’ont poussé à l’extrême.