Mme De Bleeker pointe des effets directs et indirects à cette crise. Premièrement, il est à ses yeux nécessaire de "protéger nos citoyens et nos entreprises, de faire notre devoir humanitaire envers les nombreux réfugiés et apporter un soutien à l'Ukraine". De façon indirecte, en raison des sanctions et contre-sanctions, la montée les prix d'un certain nombre de produits aura un impact sur la croissance économique.
Toutefois, la secrétaire d'État estime qu'il faut considérer ces effets séparément du déficit structurel. Ce déficit existait déjà avant cette crise et aussi avant la crise du coronavirus. "Il faudra relever ce défi pour assurer la viabilité des finances publiques à long et moyen terme", assure-t-elle.