L’arrivée de l’humanitaire de 42 ans sur le territoire a pu se faire parce que les autorités belges ont accepté de libérer, en échange, l’espion iranien Assadollah Assadi. Un échange qui a été au cœur des négociations avec la République islamique d’Iran et que certains ont critiqué car il pourrait créer un précédent. Mais cette stratégie de la diplomatie de l’otage est utilisée depuis de nombreuses années par l’Iran pour obtenir des contreparties.
L'Iran confirme mener des pourparlers indirects avec les Etats-Unis via Oman
Monde
L'Iran continue à mener des pourparlers indirects avec les Etats-Unis par l'intermédiaire du sultanat d'Oman, notamment...