En 2020, il reprend finalement son activité sur l’application "avec une idée plus claire" du message qu’il souhaite délivrer, notamment à ses abonnés suédois dans un des pays les moins croyants au monde. "On est maintenus en arrière par l'Histoire, celle où l'Eglise est au centre et où les gens viennent à l’église", analyse-t-il. "Il faut dorénavant trouver des moyens pour que l'Eglise atteigne les gens, qu'elle aille à leur rencontre."
"Où sont les gens ? Ils sont sur les réseaux sociaux."
Oskar Arngarden considère désormais sa pratique religieuse comme indissociable d’internet et du crossfit. "Il y a quelque chose de spirituel dans les réseaux sociaux (…) on peut interagir avec le monde entier, obtenir des informations, avoir une compréhension du monde", plaide-t-il.
"Dieu fait partie de tous les aspects de ma vie. Quand je fais de la musculation, d'une certaine façon, c'est aussi une interaction, une prière pour Dieu. Cette partie de moi, la foi, elle est constamment avec moi, quoi que je fasse. Je ne peux pas la dissocier du reste."