L'objectif est d'évaluer si une telle politique de contrôles aléatoires, et donc basés sur aucun soupçon précis, entraîne une potentielle diminution à terme du nombre d'individus en possession d'une arme et/ou du nombre d'incidents impliquant une arme. Lors de ces actions, des observateurs indépendants accompagnent les policiers pour garantir toute impartialité lors du choix de la personne à contrôler, et ainsi éviter les délits de faciès.
Les zones de la ville où ce projet pilote est mis en œuvre ont été temporairement déclarées "zones à risque", et le port de couteaux a été interdit afin de permettre à la police de mener à bien cette expérience sécuritaire.