Si les femmes, notamment les quadras, bénéficient d’un "âge d’or des séries", la prochaine étape serait de ne plus appeler "féministes" les fictions reposant sur des personnages féminins, estime auprès de l’AFP Audrey Fleurot, à l’affiche des "Combattantes" ce mardi soir sur La Une et Auvio.
À 45 ans, l’actrice y enfile le corset de Marguerite, une prostituée en quête d’un être cher, venue de Paris pour se rapprocher du front dans les Vosges, au tout début de la Première guerre mondiale. Un personnage dont "la détermination l’emporte sur la peur", a résumé l’actrice lors d’une conférence de presse en juin.
Comme sa grande sœur "Le bazar de la charité" (2019), mini-série où Audrey Fleurot incarnait une bourgeoise quittant son mari, "Les combattantes" retrace des destins de femmes "hors du commun" selon TF1, sous la houlette de la même équipe artistique. Un "gage de qualité" pour la comédienne, qui a accepté le projet dès ses prémices.