Côté français, Léa Seydoux, Louis Garrel ou Sandrine Kiberlain monteront les marches à plusieurs reprises.
Tout ce programme aura pour toile de fond la guerre en Ukraine, "dans tous les esprits", selon le délégué général Thierry Frémaux.
Deux générations de cinéastes ukrainiens seront présentes, avec l’habitué Sergei Loznitsa pour "The Natural History of Destruction", sur la destruction des villes allemandes par les Alliés pendant la Seconde Guerre mondiale, mais aussi le jeune Maksim Nakonechnyi pour "Bachennya Metelyka" (Un certain regard).
Cannes devrait accueillir pour la première fois sur ses marches Kirill Serebrennikov, devenu symbole des artistes russes en rupture avec Moscou depuis qu’il a quitté la Russie après le déclenchement de la guerre.
Le réalisateur n’avait pas pu quitter son pays pour ses précédents films en compétition, "Leto" et "La fièvre de Petrov", mais est désormais libre de venir défendre "La femme de Tchaïkovski", premier film projeté de la compétition.