Avec l’écriture du clavier bien tempéré, Jean-Sébastien Bach a montré l’exemple aux générations futures, Mendelssohn, Chostakovitch. Mais Bach n’est pas le premier à vouloir écrire dans toutes les tonalités.
Lors de son éducation musicale, Bach entre en contact avec des compositeurs qui l’ont précédé comme Johann Pachelbel par exemple, qui écrit 17 suites pour orchestres dans 17 tonalités. Bach n’est pas non plus le pionnier dans l’association du prélude et fugue. Un certain Johann Kaspar Ferdinand Fischer compose l’Ariadne musica en 1702, un cycle de 20 préludes et fugues dans diverses tonalités.
Découvrez ci-dessus le second épisode de la série Le clavier bien tempéré de Bach. Un regard sur l’origine et l’influence de cette œuvre centrale et essentielle, avec le pianiste Julien Libeer, le musicologue spécialiste de Bach Gilles Cantagrel et le musicologue Lothar Seghers.